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Aegerter (4e) toujours avec les meilleurs, Mulhauser découvre

16.05.2014

Dominique Aegerter (Team Technomag-carXpert) confirme, sous le soleil de la Sarthe, son appartenance au club des favoris de chaque course, en championnat du monde Moto2. Lors de la première journée d'essais du GP de France, sur le circuit du Mans, Aegerter a signé le quatrième temps absolu, à 115 millièmes seulement du meilleur chrono du jour. Les dix-huit premiers se retrouvent dans la même seconde, illustration parfaite de la compétitivité de cette catégorie. Le deuxième pilote de l'équipe suisse, le Fribourgeois Robin Mulhauser, découvre ce circuit français; de tous les pilotes inscrits, il a été celui qui a le plus progressé entre la première et la seconde séance d'essais libres du jour, en gagnant deux secondes pleines.

Dominique Aegerter (4e): "Nous sommes encore dans le groupe de tête, c'est bien sûr très important d'entamer un week-end de course dans cette situation. Mais attention, il y a encore du travail, notamment pour trouver la solution la meilleure en freinage et pour améliorer l'adhérence. Personnellement, j'ai toujours été un adepte du freinage hyper tardif, mais sur ce circuit, j'essaie de modifier quelque peu mon style, de relâcher le levier un peu plus tôt, pour augmenter ma vitesse de passage en courbe. Ce week-end encore, tout semble possible. Mon but reste le top 5 en course et si, samedi, je suis sur l'une des deux premières lignes, j'aurai rempli mon contrat."

Robin Mulhauser (34e): "Je découvre ce circuit du Mans. En voyant les images, en apprenant le tracé avec la console de jeux, j'avais l'impression qu'il était facile à comprendre, mais ce n'est pas du tout le cas. Jeudi, Dominique m'a prévenu de la complexité de la tâche qui m'attendait et j'essaie de progresser au fil des tours. Dans ces conditions, les 2 secondes gagnées entre ce matin et cet après-midi sont encourageantes. L'endroit le plus complexe? Assurément le premier freinage, sur la bosse Dunlop; on y arrive en sixième à fond et le virage nous saute dans les yeux. C'est sympa, mais il faut s'y habituer."